» . Dieu a créé le Monde, mais c'est le Diable qui le fait Vivre .

Invité

» . Je me suis très souvent demandé, c'était quoi, le Monde . J'en ai souvent entendu parlé; En bien, comme en mal... Mais, où est la vérité ? Réside-t-elle dans les deux ? Bien et Mal seraient-ils en commun pour décrire le Monde ? Je ne le connais pas... On m'a conté un monde de couleur, vif, chaleureux, avec quatres périodes différentes; une appelée l'été, chaude et agréable; une appelée Automne, aux couleurs chaudes, brunes, signe de renouvellement; l'Hiver, froid et plus blanc que jamais; Ainsi que le Printemps, la saison 'des amours', belle et colorée... Mais, on m'a aussi conté un monde triste, terne, sans destin ni futur... Un monde de guerre, où le sang coule... Enfin, je pense que jamais il ne coulera autant qu'Ici. En ces lieux, si lugubres, obscurs, sombres... effrayant peut-être... Je ne sais pas, j'y suis tellement habituée... Mais, le monde extérieur, j'aimerais juste, le voir, un jour... Juste, le voir... Quitter ma cellule, quitter mes chaînes... Mais, cela m'est impossible. Pourquoi suis-je Ici ? On dit que j'ai un grand pouvoir, dévastateur, mais, je n'en ai jamais vu la moindre onde... Ormis, mon pouvoir de pyrokinésie, et la maitrise du sang, je n'ai rien vu de plus, ou de moins... Que suis-je donc ? Un Vampire-Humain pouvant se transformer en Loup ? Ou suis-je juste un Vampire modifié ? Ou bien, un Loup modifié ? Un Humain ? Ou une autre créature ? On dit que lorsque j'userais de mon pouvoir dévastateur, je changerais de forme... Je ne sais plus, moi... Je suis, Rien. Je suis, juste la chose enfermée dans une cellule sombre, glaciale. Un sol dur, en un matériau gris semblable à du fer très foncé, mais aussi dur, si ce n'est que plus, que le diamant lui-même. Des barreaux. Des murs, trois grands murs... Et des barreaux en face de moi; je suis assise au fond de ma cage, les bras autour des genoux. J'observe à travers mes barreaux. Il y a d'autres cages semblable à la mienne, en face de moi, et à côté aussi bien sûr. D'autres créatures. Je suis seule dans ma cage, pour l'instant. D'autres, sont à trois, jusqu'à six ou sept maximum. Certains me regardent bizarrement... Que fais-je Ici ? ... Je ne fais que combattre, combattre et encore comabttre. Répandre le sang de mes adversaires, ou le boire, tout cela dépend de qui il s'agit, et si on m'y autorise. Pour l'instant, c'est la famine qui me ronge l'estomac et la gorge. On ne me nourris plus depuis près d'une, peut-être deux, semaine. Je ne suis aps sortie une seule fois... Je ne comprends pas... Enfin, si, on m'a fait mes séances de tortures habituelles; au fouet munit de griffes acérées, et au barbelé. Je ne ressens même plus cette souffrance qui au début me faisait hurler de tout mon être. C'est devenu, banal, pour moi. Ho, on viens me chercher, je crois ... Un de ses gardes bien baraqué et bien protégé, une chaine et un collier en bout de bras ...

- Debout Bloodspill !

Bloodspill... Ce n'est pas mon vrai nom. Mais, c'est ainsi que l'on m'appelle Ici. Qu'Ils m'apellent tous. On a tous un surnom, offert par le chef même de ces lieux. Bien, qu'on ne l'ai jamais vu. On dit que c'est un être fort, grand, et qui a tout pouvoir... Ou en tout cas, un grand pouvoir. Il ferait ce qu'il veut quand il veut... On raconte qu'il est séduisant et encore jeune; pas plus de 25 ans. Après, on n'en sait pas grand chose, mais à ce qu'il parait, cela serait vrai. Je ne me lève pas comme le garde me l'a demandé. Je le regarde, comme absente, regardant à travers lui. Il grogne, m'attache les poignets avec des menottes, puis le cou et me tire. Je suis propulsée violemment en avant, et je grimace un peu; mes plaies dû à un mauvais combat n'ont pas totalement cicatricées, et certaines sont même encore béantes, comme celle à mon ventre, ou dans mon dos. Je me relève, sans un bruit, sans une plainte, et le suit en boitant légèrement; une mauvaise plaie à la cheville droite. On m'emmène avec brutalité; comme toujours; dans un endroit que je ne connais pas. C'est une pièce. Simple, comme un salon. Il y a des fauteuils, des sofas... En cuir noir. Quelques meubles par-ci par-là, rien de plus... Enfin, si, d'autres créatures. Enfin, toutes à l'allure plutôt humaine. On me détache, et me laisse libre... Aussitôt, je me demande si le sang des présents est agréable ou non... C'est un tic, je suis assoiffée de sang. Mais, je me demande aussi, si ils ont passé les 'sélections'. Elles ont lieues toutes les 10 ans. Elles sont extrêmement dures... On capture de très nombreuses personnes; environs 3 000. On les affame, les fais combattre. En général, il n'en reste après cela déjà que 2 000; ce n'est que la première épreuve. La seconde, consiste en un lâché des créatures dans un grand désert, avec une forêt à coté, et de nombreux dangers. Uniquement 800 à 1 000 y survivent. Pour finir, la 3ème et ultime épreuve... On nous lâche,e t on doit atteindre l'arrivée sans mourrir... Cela a l'air simple, mais, les monstres qui y sont lâchés avec nous sont extrêmement dangereux. Certains s'entre-tuent avant l'arrivée aussi... Le feu, nous poursuit, enfin, toutes choses... On arrive enfin, ensanglantés, exténués. Un dernier test auquel personne ne s'attend: affamés et assoiffés, ils se jettent sur un tas de cadavres de petits mamiffères, ou sur l'eau dans un abreuvoir... Ils meurrent, sans exeption. Car l'eau et les cadavres sont empoisonnés. La 15ième sélection à eut lieue il y a 1 an tout juste. J'y ais participé. Je me nommais Kaori Irisawa. Jeune fille étrange d'à peine 7 ans, aux yeux vert d'émeraude virant au rouge vif quand j'étais assoiffée. Je fus la seule survivante, avec deux autres créatures dont je ne me souviens pas. On a vite été séparées. Maintenant, je me nomme Bloodspill. J'ai 18 ans. Toujours le même physique, mais je suis devenue maigre avec le temps; on voit mes côtes sans soucis, mais je garde un certain charme à ce qu'il parait. Je porte toujours un short en jean noir, un tee-shirt court laissant apercevoir mon ventre, de couleur mauve très foncé généralement. Des converses noires, déchirée par le temps. Des gants aussi, noir toujours... Bon, aujourd'hui mon haut est déchiré; on ne m'a rien donné pour me changer, vous m'en direz tant. En somme, je suis carrément en soutif... Mon dernier combat fut très violent. Mon ventre possède une longue balafre, légèrement profonde, saignant encore un peu. Mon dos, une balafre en 3 griffures, sannguinolante aussi. TOut mon corps est tâché de sang; mon short est légèrement déchiré, mais sans plus, mes cheveux sont aussi trempés par le sang séché, et mes bras de même. Surtout mes mains. Elles sont rouges. Encore rouge vives. En plus de mes propres morsures que je m'inflige pour apaiser mon estomac; bien que mon sang ne me soit pas propice pour apaiser ma faim. Je suis couverte de coupures, de morsures diverses et griffures diverses. Je regarde brefement ceux qui sont présents, et vais m'asseoir dans un coin sombre; je m'adosse au mur et me laisse glisser au sol; formant une tracée de sang sur le mur auquel je suis adossée. Mes pupilles tournent au rouge vif; j'ai soif... Soif de sang... J'ai besoin de me nourrir... Mais, je suis habituée à cette torture. Je fais taire mon estomac et ma gorge sèche, laisse mes cheveux caché mon visage, et je reste là, sagement... Il y a un balcon à l'intérieur même de la pièce... Quelqu'un allait-il venir nous parler ? Très sûrement... Peu après, la porte derrère le balcon s'ouvrit. Je pu apercevoir un jeune homme entrer, pas plus de 25 ans, plutôt mignon, au regard révélateur... Evidement, je levais le regard pour le regarder, le détailler... Mon sang ne fit qu'un tour; Il portait à son cou la marque des chefs de ce genre d'endroit où nous sommes, infâmes créatures. Autant, je désirais son sang encore plus que ceux des autres; autant j'avais une envie de le tuer... autant, et bien, je ne voulais rien lui faire. Ne rien lui faire, dominait les autres sentiments; j'étais devenue vide de sentiments avec le temps... La Haine, la tristesse, je ne connais plus cela à présent. Je ne connais que le Sang, et la loi du plus Fort...

A qui veut bien venir Rp avec moi sur ce sujet ~

[ Vous pouvez jouer le 'Chef', si cela vous tente... Jouez le bien hein :3 ]

Toutes possibilités ~

Invité

Pathétiques, misérables. Comment osent-ils? Le respect n'existe donc pas dans leur petites têtes athrophié. Seul la mort et la destruction. Mais ce n'est pas juste ça. Les autres héraut ne savent pas se qu'ils font. Ils ne peuvent pas comprendre. Pourquoi sont-ils si incultes. La force ne règle pas tout. Quelle idée de torturé nos meilleurs éléments. Si il n'en tenait qu'a moi je l'ai aurait déja éléminé. Mais non! Même y songé était dangereux. Il le regardait tout le temps: Vozaj. C'était probablement a cause de lui. Pourquoi tout les autres semblait avoir oublié. Moi pourtant je me rapelle; je me rapelle les étendue verdoyante de ce coin de paradis, La Terre qu'on la nommait. Je jouait avec ma soeur, si jeune. Ils sont arrivé de nulle part et ils m'ont pris. J'ai passé les pires épreuves possible, les pires, et pourtant c'était si facile. Plusieurs de ceux qui était avec moi avait eu aussi des pouvoirs mais aucun ne m'égalisait. Je les comprenait et je soufrait avec eux, je mourrait avec eux. J'ai vu les survivants perdre se que l'on appelait "humanité" et j'ai moi même faillit sombré a cette "folie". Le pouvoir d'empathisé et de controler ce que l'on appelle les émotion doubler a celui de controlé ce qu'ils apellent l'électron est un véritable cadeau empoisonné. Et me voilà, vingt et un ans plus tard alors que j'ai le poste du Heraut des péchés (Herald or Sins). Mon uniforme une armure de diamant ultra légère, m'a été donné avec ce titre.

On vient de confier une mission, la première en deux ans. Et m'a première conjointe a vie. Mon partenaire? Plutôt m'a partenaire. Elle répond au pseudonyme Bloodspill mais elle se nommais Kaori Irisawa et vient de la dimention de la Terre aussi. Elle possède les dagereux pouvoirs Pyrokinésie et Hemakinésie. Seulement pas a la même époque. Elle vient des années 1770 selon le calendrier chrétien. J'ouvrit la porte et je vit la jeunne fille, couverte de sang, un irréprésible envie de tuer martelait ses sens. Je lui envoya une immence vague d'indiférence pour m'assuré de sa coopération et puis je me suis approché d'elle. Elle était couverte de cicatrice et ses pupilles était rouge vif, quasiment hypnoptisantes. Je pris la parole, d'une voix ferme mais agréable:

-Bonjour. Je me nomme Epoch. Comment puis-je t'appeler?

Esperons qu'elle réagisse bien. Sinon les autres vont vouloir encore qu'on la "lave".

Invité

» . Après l'avoir regardé quelques brefs instants, je rabaisse le regard; je n'ai que faire de lui ... Je ne désire que son sang, pour me nourir, rien de plus. Je ne souhaite rien de plus de sa part, absolument rien. Les autres créatures; quelques unes en tout cas, semblent le regarder avec curiosité, haine, mépris... Ou respect et soumission. Enfait, c'est ce que l'on devra tous faire, nous soumettre. Il est plus fort que nous, c'est indéniable. Il n'est pas vraiment devenu 'chef' pour rien, non ? Je peux apercevoir un homme dont les poignets sont encore liés... Cheveux brun, court, avec des yeux bleu saphir... Il semble regarder le balcon avec une avide envie de meurtre; ses mains s'ouvrent et se referme, comme recherchant la présence d'un cou à étrangler. Ses lèvres remuent légèrement, dévoilant et cachant ses crocs systématiquement; démontrant une envie de mordre une chair, et déchirer sauvagement... Je ne le connais pas; comme la plupart de mes congénères après tout; mais il me semble dangereux. Je passe mon temps à regarder les envies meurtrières ou comment réagissent les autres, c'est 'amusant'. Tellement absorbée, que je ne le vois pas arriver près de moi. Un jeune homme d'environs une vingtane d'année, pas plus. Une légère armure en diamant sur lui. Mon regard de sang croise le sien, sans grands ressentiments; j'ai l'impression que l'on m'a rajouter une certaine indifférence... Je n'en suis pas si sûr... Dans tout les cas, cela ne change absolument rien à ce que je ressents présentement. Que me veut-il ? Pourquoi descend t-il ME voir ? Je ne comprends pas... Mais, je ne veux pas comprendre, après tout...

-Bonjour. Je me nomme Epoch. Comment puis-je t'appeler?

Une voix plutôt suave, ferme, mais qui se voudrait agréable. Pourquoi ? De nombreuses questions... Dont je ne vois pas l'intérêt d'y répondre. Alors je les fais taire, et je le regarde juste... Enfin, pas exactement. Son cou. Son cou... Il m'attire désespérement, comme ceux des autres... J'ai faim. Très faim... Et il vient se poster ainsi devant moi... Je refoule un léger grognement vampirique et le regarde dans les yeux, tentant d'oublier ma gorge si sèche... Je n'ais aucune envie de lui répondre. Mon regard est froid, presque méprisant ...

- Qu'est-ce que cela peut bien vous faire ...

Lâchais-je alors dans un ton légèrement glacial. Comme toujours, quand je parlais... Enfin, j'avais peu l'occasion de parler, il faut dire... Mais, là, dans mon indifférence totale; et maîtrisée ? Oh, et puis, il connait sûremen très bien mon nom, et même mon 'surnom' ou 'pseudo' donné une fois admise dans ce lieu immonde... ; je ne pu que sortir un ton glacial... Enfin, cela impote peu. Je ne vois pas ce que viens faire ce 'chef' près de moi, devant moi, à me poser une question aussi insignifiante ... N'était-ce pas lui, l'origine de notre mal-être , à nous, pauvres créatures infâmes ? On nous capturait, torturait... On devait se battre, pour notre survie, tuer, dévorer même nos semblables sous la faim, ou l'obligation, tout dépend de ce que l'on avait à accomplir... Tout ce sang versé, n'était-ce pas à cause de lui ? Personellement, j'ai conscience de cela... Autrefois, je ne m'en fichais pas, j'éprouvais une peur, une haine... Mais là, plus rien. Juste, Rien. Demandez moi de tuer; je tuerais. Demandez moi de dévorer un être qui me ressemble; je le ferais sans m'y opposer... Surtout maintenant. Le Sang de mes semblables, de ceux qui sont différents de moi... Tous. Leur sang m'attire, m'attise, me provoque... Mais, ma gorge restera sèche, jusqu'à ce que l'on décide de me nourrir ne serait-ce qu'une goutte par jour; ce qui relève d'une torture encore plus haute. Et là, j'ai un cou, à portée de main... Juste devant moi... Je ne peux pas y toucher. C'est lamentable. Je n'aurais rien à perdre; si ce n'est que ma 'vie'; bien que ce ne soit pas une vie que je vive présentement, je pense... Mais, je ne le ferais pas. C'est Pitoyable... Pour éviter de faire une 'bêtise'; non cela n'en serait pas une, mais, appelons cela ainsi à tout hasard; je ramena une de mes mains à ma bouche. J'ouvris la bouche, découvrant mes deux caninces acérées, que je plantai alors dans ma chair déjà meurtrie. Le sang sortant se dirigea jusque ma gorge... Sans me rassasier. Je ne peux pas me rassasier de mon propre sang... Et de plus, cela me fatigue, puisque j'aspire mon sang, qui n'est pas assimilé par mon corps... Pathétique... Je faisais tout cela, sans le quitter de mes yeux rouge vif, légèrement scintillants .

Invité

C’est fou de penser à tous les effets inimaginables qu’une torture à outrance peut faire à l’esprit humain. Sans avoir besoin de le faire certains l’exécutent pour le simple plaisir, d’autre pour contrôler. Peu importe les motifs, les effets sont les mêmes : l’être en question n’a quasiment plus de raison. On peut appeler ça une lobotomie, mais, sans opérations chirurgicales. Quoi qu'il en soit, le résultat n’est plus humain. C’est malheureusement ce qui arrive avec cette jeune fille. Le sang, c’est tout ce qu’elle veut; un désir impossible a attisé et une soif impossible a étanché. Telle une flamme sur le bord de mourir en train d’assécher, son seul espoir de survie elle s’autodétruit pour survivre.

- Qu'est-ce que cela peut bien vous faire...

C’est fou d’assister à tous les effets inimaginables de la torture à outrance… Ces premiers mots, ainsi que ce regard froid et sans émotion sont typiques des gens comme elle. De toute façon, cela ne fait que onze ans qu’elle est ici. La torture n’a pas fini son travail. Dans un autre cas elle aurait éprouvé une haine inconditionnelle pour une personne de mon rang, mais là… rien… un vide… un indescriptible vide. Comment a-t-on pu en arriver là? Simple. La torture. Quelle science curieuse. Sur moi elle n’a pas du tout eu cet effet. Non. La torture sur moi a eu, comment dire? Non! Je ne veux pas en parler. Juste la vue de ce cachot me rappelle d’indescriptibles souvenirs de ce mal atroce qui étreint mon âme avec une brutalité irascible. Le fouet, le barbeler, la musique trop forte, ils ont vraiment beaucoup d’imaginations sur ce point-là. Sur moi, elle m’a rendu malade alors que sur elle… sur elle ça lui a enlevé toute émotion, toute humanité, toute dignité, toute audace, tout… tout pour être plus bref.

-Oh! Pas grand-chose…

Plus rien… Les mots restaient pendus à ma langue incapable de sortir ou plutôt ils ne voulaient pas sortir. Cette fille est si vide et inerte que j’ai l’impression de parler à une statue qui garde indéfiniment cette expression figée. Je ne suis pas du genre à mâcher mes mots, mais là je dois dire que c’est trop hébétant. L’impassibilité causée par le supplice récidivé donne parfois un air terrifiant. Mais ce n’est pas la peur qu’elle m’inspire, mais plutôt de la pitié. De la pitié à savoir tout le potentiel qu’elle aurait pu avoir a été balayée d’un coup de la main.

- Que désires-tu?

Question banale? Pas selon moi. Je pense que cette question va éveiller sa curiosité. Comment un homme comme moi, qu’elle doit croire sans cœur peut-il seulement concevoir à demander une telle chose? Voilà la question que je veux susciter. Mais je ne suis pas sur; avec elle on n’est jamais sur m’a-t-on dit. Je ne crois pas que c’est le combat qu’elle cherche, mais on n’est jamais trop préparé. Je sens déjà mes vieux réflexes refaire surface. Je ressens le picotement de l’électricité statique qui parcourt mon bras près à lancer un arc au moindre mouvement hostile. Je lui lance un regard interrogatif du genre « Qu’est que tu attends pour répondre? » alors que moi j’attends… j’attends une réponse.

Invité

» . Il continue de me regarder ... Que me veut-il ? Pourquoi ne va t-il pas emmerder les autres ? Pourquoi moi ? Je ne suis pas sûre de comprendre sa venue ... Je relâche l'étreinte de mes crocs sur mon poignet; cela fait mal ... Mon sang coule le long de mes veines, de ma main et de mes doigts pour se lover contre le sol, tombant en goutelettes fines et rouge vives . Je regarde ce sang si beau, si attisant couler ... Enfin, il est censé l'être, mais, je ne peux m'en rassasié ... C'est ... Rageant . Emmerdant ... Tout ce que vous voulez dans ces mots là après tout ... Je me sens si mal ... J'ai si faim ... Je ... Je Veux du Sang ... Et ce cou à porté de mes crocs ... Oh, ce sang qui coule dans ses veines ... J'en veux tellement ... Mon estomac se tord, ma gorge hurle ... Je ne les écoute pas, m'obligeant à rester là, assise contre ce mur déjà teinté de mon propre sang .

-Oh! Pas grand-chose…

C'est tout ce qu'il a trouvé à répondre ?... Enfin, je le regarde encore un peu puis m'attarde sur son cou, de nouveau ... Je déglutirais presque tant j'en ai envie ... Je me perdis dans mes pensées assoiffées, ne pouvant quitter son cou des yeux ... Ce sang qui y coule, si seulement il pouvait couler dans MA gorge ...

- Que désires-tu?

Je le regardais, incrédule . Puis, une minute plus tard ... j'explosais de rire . Un rire sincère, mais à la fois nerveux . Pas trop fort, mais assez pour que Lui il l'entende; Epoch. Je cessa mon rire, un sourire étrange aux lèvres ... Je le dévorais des yeux :

- Ce que ... je désire ? ... Mais ...

Je ferma les yeux un instant . J'approcha ma main de son visage, et la glissa jusqu'à son cou, lentement . Je ne lui faisais rien, je ne griffais pas, mordait pas ... pas encore du moins ...

- ... Je désir ton Sang .

Déclarais-je alors, plus sincère que jamais . J'aurais pu me jeter sur lui, le dévorer à proprement dit . Non, je souriais d'un étrange sourire, mes yeux plus rouge et scinillants que jamais . Je griffa son cou, lentement, faisant sortir son sang . Je ramena tout aussi calmement ma main à moi, léchant mes ongles sur lesquels avaient coulé un peu de ce sang si frais ... je me délectait de ce peu de sang que j'avais réçut . Je ne m'attaquais cependant pas à lui, le regardant avec insistence, et une claire envie de le dévorer . Je me contentais de cela, bien que ce ne soit pas l'envie qui me manque .

Les autres créatures le regarde avec fascination ... Enfait, tous se demande, comme moi d'ailleurs, ce qu'il fait ici . On le relook, le toise ... ou l'admire, cherche à attirer son attention . Peut-être essayent-ils de l'impressioner pour être moins torturé ? Très certainement ... Personellement, je reste froide, distante de tout . C'est mieux ainsi, me semble t-il ...

[ Pardon, c'est court, je ferais mieux au prochain poste ]

» Seule au monde... (libre) [TERMINE]
» Dans le petit Monde de Candiice ~ ♫
» ''Les mamans, ça pardonnes toujours, c'est venu au monde pour ça !'' [Pv Darknight]
» *YYAAWWN* On fait quoi ?
» À travers les ombres[Pv Faria mais libre sur demande.]