Sous le regard de la lune (pv libre tant que l'autre est inspiré)

La colère mélangé à la douleur était étrange pour Éli'. Jamais elle ne s'était sentit ainsi: ses membres tremblaient sous l'adrénaline générée par la blessure et la situation. Aivy s'était approché et lui avait enlever la vitre, puis était parti voir J-F en lui disant qu'ils rentraient! Des larmes de rage envahirent son regard alors qu'elle se relevait pour rentrer chez elle désinfecter sa blessure.

- Et elle va bien... ?! Elle est où là ?!

Élizabeth s'arrêta et tourna la tête vers son amour, qui venait de retomber dans les vapes. Il devait forcément être trop lourd pour Aivy. Enfin, c'était l'excuse que se donnait Éli' alors qu'elle avançait vers eux.

-Je vais t'aider... je me soignerai chez lui.

Sur ce, Élizabeth passa l'autre bras de J-F par dessus son épaule, puis créa un contacte avec Aivy en la regardant. La jalousie et la rage n'était pas caché.

J,eus juste le temps de reprendre mon quilibre que J_f tomba dans les vapes.Je soupira deseserer de ma soirée.J,enendit les pas de Élie s'avancer vers nous.Ce qui ne me plaisit pas tellement.

-Je vais t'aider... je me soignerai chez lui.

Je la toisa du regard.Ca ne me plaisait pas tellement de la revoir pres de J-F.Je commenca a marcher sans dire un mot.Bien sur la jalousie etait presente dans nos deux rgards.Apres un long moment de marche et de silence.Je me dis que parer un peu et me mettre a jour des évenement ne serais pas trop pire et plustot bien a mon egard.

-Dit? Qu'es qui c'est passer?J'n ai manquer un mechant bout....

(Désolé court XD)

(bon bah je passe le trajet vu que je dodotte xD Tu peux dire ce qui ce passe durant le trajet ^^)

Lorsque je me réveillai, quelques heures plus tard, j'étais dans ma chambre, confortablement couché sous les couvertures dans mon lit. Je n'ouvrit pas les yeux, il faisait toujours noir, les évènements me revinrent en tête... J'ouvris les yeux, la pièce était sombre, trop pour que j'y vois quoi que ce soit. Je bougeai un peu, ma jambe toucha quelque chose à ma droite... Quelqu'un plutôt... Je me levai doucement, tâtant devant moi, ma main attérit dans le visage de.... Aivy! Son amie lui sauta au cou, le plaquant au lit, il lacha une exclamation de surprise. Au moment où J-F serrait Aivy, la lumière s'alluma, laisant entrevoir Éli dans le cadre de porte, le garçon détourna son attention vers sa copine... ex-copine ?

(UP UP SASA!!)

[Dans la section absence j'ai précisé que je serais moins présente, du calme ]

Élizabeth était descendut afin de se prendre à boir. Les événements l'avaient chamboulés et elle n'avait pu fermer l'oeil ou se détendre. Elle monta ensuite à la chambre de J-F. Un cri de joie étouffé lui attira l'attention. Son doigt appuya sur l'interrupteur afin de mieux y voir.
Aivy s'était étallée de tout son long sur J-F, qui avait tourné le regard sur elle. Eli' serra les dents et sentit la rage monter en elle. Son regard s'embua tandis qu'elle serrait les poings et fit volte face. Elle appuya à nouveau sur l'interrupteur, puis descendit à nouveau à la cuisine. Elizabeth s'assit à la table, fixa le pot de fleur décoratif d'un air morne. Et si J-F et Aivy allaient sortir ensemble!? Non! Non, ça n'arriverait pas. Elle ne voulait pas...

J'étais si heureuse de voir que mon meilleur ami aille bien.J'avais complètement oubliée que Élie était en bas.Lorsque je vis la lumière s'allumer je me suis vite relever et regarda Élie droit dans les yeux sans aucunes émotions.Puis elle repartie en refermant la lumière.Je regarda J-F dans les yeux d'un regard insistant, je ne voulais pas qu,il part la voir , je voulais qu,il reste avec moi.Mais je savais deja que c'était trop tard qu,il irait le rejoindre.Il voulut se lever,mais je posa ma main sur son torse pour le recoucher.

-Tu dois te reposer, je vais aller voir...

A contre coeur je me leva et me dirigea vers l'étage du bas.Je trouva .lie dans la cuisine qui fixait le pot de fleurs.

-Élie...

Je ne sut pas quoi dire, de voir cet air sur le visage d'Éli me troubla légèrement, d'un côté je ne m'étais pas attendu à ça... Elle partit en trombe, les laissant ainsi, bouche-bés.... Je regardai Aivy dans la noirceur qui envahissait maintenant la pièce, le corps d'Ai' contre le mien me procurait un sentiment étrange... Mais c'était si bien... Elle s'appuya sur moi, alors que je m'approchais lentement, ses yeux brillaient dans le noir, son souffle tiède s'emmêlait au mien, je voulus la retenir un instant, je ne savais plus où j'en étais, j'aurais tout simplement voulu la serrer contre moi et tout oublier. En même temps, Éli était ... Pas comme les autres ? Je me rappelle encore notre première rencontre, la première fois que mon regard s'est posé sur elle, j'ai tout de suite su que je serais toujours avec elle. Mais maintenant j'en doute légèrement... Et si c'était vraiment fini... Elle l'avait dit mais d'un côté je refusais d'y croire. Aivy me chuchota quelque chose que j'entendis à moitié et me quitter, me laissant seul et froid... Vide. Je me recouchai sur le lit, écrasé par ces sentiments que je ne contrôlais pas. Pourquoi voulait-elle le quitter ?! On n'en serait pas là... Si elle l'aimait toujours ce ne serait pas comme ça. J'entendis les voix plus bas par la porte entrebâillée. Je me levai à regret, presque nu, il me restait qu'un caleçon... Je ne me demandai même pas qui m'avait aidé... Je me dirigeai hors de la pièce et m'arrêta en haut des escaliers qui menaient à la cuisine, elles ne pourraient pas me voir d'où j'étais, mais je les entendrais très bien.

Élizabeth avait le regard sans émotions. Elle avait gaffé, depuis le début. Enfin, peut-être était-ce mieux ainsi? Après tout, son coeur serait déchiré par le même fait...
Des pas se firent entendre et l'adolescente se raidit. Elle devnia la réponse d'Aivy. Une colère sourde l'envahissait, mais elle savait très bien qu'elle devait se contenir.

-Élie...

Éli' resta silencieuse, continuant de regarder les fleures. Durant une seconde, elle pensa à prendre le bouquet et le lancer de toute ses forces sur Aivy afin de la défigurer et que plus jamais elle ne puisse approcher un seul homme de toute sa vie!

-...qu'est-ce que tu me veux toi?

Élizabeth se retourna violament vers Aivy avant de se lever, faisant basculer la chaise. Ses yeux étaient noyés de larmes.

-Tu te sens vraiment obligée de devoir venir me parler!? Tu aimes me pourrir la vie!?

Éli' s'approcha dangereusement de sa rivale. Le trémolo se faisait parfaitement entendre dans sa voix. Elle était blessée, et ne s'empêchait pas de pleurer.

-Bordel de merde, je suis écoeurée de tes manigances poru ravoir J-f!!! Tu ne peux pas savoir comment je peux être en rogne!

Le morceau alait être craché, Élizabeth allait tout révéler... C'était inévitable.

-Mais ça, tu dois t'en foutre, parce que je déménage! Je pars loin d'ici, à l'autre bout du pays, j'étais donc obligée de... de...

Sa gorge se serra et elle fut incapable de dire autre chose. Élizabeth déglutit difficilement avant de tenter d'articuler:

-J'aime tellement J-f... mais... je comprends qu'il...

Éli' écarquilla les yeux. Elle venait de réaliser quelque chose: elle venait de rompre avec Jean-Francois, et déjà, il se retrouvait dans les bras d'une autre fille! Élizabeth s'essuya rapidement les yeux du revers de sa manche. Cette fois, la rancune était aussi de mise.

-...oublie ça. Tu sais, je crois que... toi et J-F allez vous entendre.

Elle alla se servir un nouveau verre d'eau, glacé cette fois, afin de détendre la tenssion de sa gorge. Elle soupira avant de lever un regard dur sur Aiv', puis sourit légèrement.

-C'est maintenant que je vois le fond des choses: J-f ne recherche que la compagnie. Je l'ai plaqué à peine cette nuit et il est déjà dans tes bras! Je vous souhaite tous mes voeux de bonheur, et surtout, j'espère qu'il s'attachera à toi longtemps.

Sur ce, Élizabeth calla son verre.

J'écoutais Élie parler ne sachant pas quoi dire...Non au contraire je ne voulait pas lui fare de mal...Bon bien sur je la detestais, mais je nesuis pas capable de voir les autres souffrires.Pendant qu,elle buvait son verre, jem'approcha doucement d'elle et posa une main compatisante sur son bras.Le rgard pleins de compassion.

-Élie...je ne cherchais pas a te faire du mal...Au contraire.Et J-F N,est pas dans mes bras,il ne cesse de vouloir te voir et te parler.Il veux s'implement comprendre...POurquoi ne lui a tu tout simplement pas dit la vérité, tu sais tout peut s'arrenger...Si tu l'aime vraiment...

Je m'en vouais d'avoir dit ca.Mais je savais que Jean-Francois aimat Élie plus que tout et si c'etait cette fille son bonheur, alors je suisprette a renoncer au mien pour le siens.Des larmes monterent a mes yeux,mais je les retient pour qu,elles ne coullent pas.

-Tu evrais aller le voir, puisqu'il nous écoute d'en haut depuis tentot...

Je fit un signe vers les escaliers a Élie , J'vais de puis le debut répérer mon meilleur ami qui nous espionnait.Je savait qu'il ne serais pas capable de rester coucher.Apres tout on se connais depuis le primaire.Je la poussa vers J-F et je m,assit a la table, j'allais les laisser seuls...Mes larmes se mirent a coulle une fois seule.

-...qu'est-ce que tu me veux toi?

Le ton de la conversation s'annoncait déjà aggressif, je savais qu'elles ne s'aimaient pas mais là je le constatait réellement...

-Tu te sens vraiment obligée de devoir venir me parler!? Tu aimes me pourrir la vie!?

La voix d'Éli la trahissait énormément... Ou elle ne se cachait tout simplement pas... Je ne voyais peut-être pas mais seulement d'entendre la voix brisée de la fille qui compte le plus à mes yeux me rendait également triste,je tendis à nouveau l'oreille, faisant taire mes pensées pour privilégier celles d'Éli.

-Bordel de merde, je suis écoeurée de tes manigances poru ravoir J-f!!! Tu ne peux pas savoir comment je peux être en rogne!

Un lourd silence s'installa, il ne fut pas long mais je sentais la pression d'où j'étais... J'avais un drôle de pressentiment sur les prochains mots, comme s'ils allaient être importants...

-Mais ça, tu dois t'en foutre, parce que je déménage! Je pars loin d'ici, à l'autre bout du pays, j'étais donc obligée de... de...

J'écarquillai les yeux, j'avais bien entendu ??!! Elle déménageait ??! Ces mots ne passaient tout simplement pas dans mes oreilles, c'était impossible ! Ses parent avaient beau ne pas m'aimer, ils n'avaient pas le droit de me l'enlever ! Elle était tout pour moi !! Le soleil et la lune ne valent rien comparé à elle! Sans Éli à mes côtés, rien n'était possible....

-J'aime tellement J-f... mais... je comprends qu'il...

Ces mots me sortirent de mon état, je n'avais pas remarquer la larme qui s'était mise à couler sur ma joue droite, je l'essuyai du revers de la main, je m'étais promis de rester fort pour elle, quoi qu'il se passe... Mais est-ce que j'étais censé pouvoir résister à ça ?

-...oublie ça. Tu sais, je crois que... toi et J-F allez vous entendre.

Je me levai lentement, ma curiositée était piquée à vif, il n'y avait rien entre moi et Aivy !? Du moins, je l'avais toujours vue comme ma meilleure amie ...

-C'est maintenant que je vois le fond des choses: J-f ne recherche que la compagnie. Je l'ai plaqué à peine cette nuit et il est déjà dans tes bras! Je vous souhaite tous mes voeux de bonheur, et surtout, j'espère qu'il s'attachera à toi longtemps.

Les paroles d'Éli me frappèrent comme un couteau, j'allais descendre mais j'en avais plus envi... Elle ne me faisait visiblement plus confiance... J'aurais tellement préférer me noyer à cet instant même... Je regrettais d'avoir entendu ces mots... Je me dirigeai vers ma chambre, prit un T-shirt vert foncé, enfilai une paire de jeans noirs, des bas, une ancienne paire de soulier qui trainait toujours là avec un hoodie avant de sortir de chez moi par la fenêtre... Je poussai un soupir... Je n'avais nul part où aller, ma forteresse même ne m'appartenait plus... Je sortis donc...

Si tu l'aimes vraiment... si tu... l'aimes vraiment!? Mais pour qui elel se prennait elle!? Élizabeth resta silencieuse, son regard était soudain devenu plus agressif. Décidément, rien ne collait avec cette fille. Oh, et pour couronner le tout, il les épiait!? Éli' ne se fit pas prier pour monter rapidement les escaliers, mais quand elle arriva, elle remarqua que J-F était partit. Après un moment d'hésitation, elle interpela Aivy,

-Y'a un problème, J-F n'est plus là...

Élizabeth se sentit mal, très mal. C'était probablement de sa faute, elle l'avait blessé...

j'avais les larmes qui montait quand j'entendis la voie de Élie provenant en haut des escaliers.

-Y'a un problème, J-F n'est plus là...

Je me leva d'un bond et monta pour voir,je regarda partout dans sa chambre et vie sa fenêtre ouverte,je m'en approcha quand je le vie au coin de la rue.

-Il est la bas!

Je me dépêcha ne laissant même pas le temps a élie de dire quoique ce soit et me précipita dans les escalier pour me retrouver dehors.Je courus jusqu'à lui.Je réussis enfin a le rattraper.Haletante. je tentait de le suivre.

-J-F?Ça va aller?

Bon je savais très bien qu'il n'allait pas bien,mais je ne savais pas quoi dire d'autre.Je le força a arrêter, je le regarda un moment dans les yeux et puis je le serra dans mes bras.Je voulais etre la pour lui et je devais etre la apres tout j'était sa meilleure amie et l'autre tarlatte lui avait brisé le coeur c'étais mon devoir d'etre la pour lui!

Ce ne fut pas très long avant que j'entende des pas résonner derrière moi, il était tard... Tôt ? Peu importe... J'allais foutre le camp... Quelle soirée misérable... J'avais tout perdu.. Autant mon identité que ma raison de vivre... J'étais qu'un fantôme qui déambulait sans but.

-J-F?Ça va aller?

Je jetai un regrd vide à mon amie... Une brise vint remuer ses cheveux, donnant un air étrange à cette scène, je secouai la tête et essaya de reprendre mon chemin. Aivy m'arrêta net, elle me regarda dans les yeux, un regard profondément inquiet... Un regard.. Je détournai les yeux et elle m'enlaça affectueusement.

-Aivy... Laisse-moi...

J'avais dit ces mots sur un ton empreint de neutralité. Mon regard encore pointé dans le vide. Je me retournai vers ma meilleure amie et les paroles d'Éli me revinrent en tête à ce moment.

*Bordel de merde, je suis écoeurée de tes manigances poru ravoir J-f!!! Tu ne peux pas savoir comment je peux être en rogne!*

Je baissai les yeux.

- Aivy... Que ressens-tu pour moi... ?

Tant qu'à aggrandir la plaie... Autant le faire au grand complet... Je savais déjà à quoi m'attendre...

Élizabeth secoua la tête. Aivy prenait délibèrément trop de place. Après un moment, elle se décida enfin à sortir à son tour, plissant les yeux pour distinguer deux personnes au coin de la rue. Éli' soupira, puis s'avança vers eux. Elle n'en reviendrait pas de ce qu'elle allait balancer, mais... c'était plus fort qu'elle.
Rendu à leu hauteur, elle attendit qu'ils la remarquent. Élizabeth se concentra pour masquer toute agressivité et se modeler un visage passablement... correcte.

-J-f, écoute, je... je suis vraiment désolé pour ce que j'ai dit. Je n'ai pas été correcte. Avec toi aussi Aivy. Je me suis toujours dit que les choses n'arrivaient jamais pour rien. J'imagine que tôt ou tard, je devais partir d'ici et... retourner vivre en Californie. Je ne souhaite qu'une chose: soyez heureux. Merci J-f, pour tous ces moments.

Elle sourit un peu et haussa les épaules, larmes aux yeux. Tout ce qu'elle espérait c'était peut-être un peu e compassion et un au revoir avant qu'elle ne parte vers l'ouest et ne quitte la floride.

- Aivy... Que ressens-tu pour moi... ?

Je regarda J-F, bouche bée pourquoi il me demandait ca la?Elle resta a le fixer cherchant des mots a dire.elle allait enfin articuler quelque cose quand Élie arriva.*tant pis c'est peut-etre mieu comme ca...*

-J-f, écoute, je... je suis vraiment désolé pour ce que j'ai dit. Je n'ai pas été correcte. Avec toi aussi Aivy. Je me suis toujours dit que les choses n'arrivaient jamais pour rien. J'imagine que tôt ou tard, je devais partir d'ici et... retourner vivre en Californie. Je ne souhaite qu'une chose: soyez heureux. Merci J-f, pour tous ces moments.

La je trouvait qu,elle exagérait...Faire semblant qu,elle n'était pas facher et qu,elle leurs souhaitait une bonne vie etait de la mauvaise comedie.Aivy alla voir Élie et lui donna une petite gifle au visage et la pointa du doigt parlant plustot fort.

-Toi écoute moi arrete de dire ca! Depuis tentot j'essaie que vousvous parliez et vous faites expres de faire Ch*er! Si J-F t'aime c,estque ca doit etre vrai et arrete de faire ta gentille avec moi je le sais trs bien que tu me déteste et en passant tu pourrais peut-etre demander a ton pere si tu pourrais rester ici pour les études!

je me tourna vers j-F l'incitant du regard.Elle m'avait foutu en rogne la...

Aivy ouvrit la bouche pour parler quand Éli arriva, l'interrompant. Je me tournai vers celle que j'aimais toujours, lui offrant un regard aussi froid que tendre.

-J-f, écoute, je... je suis vraiment désolé pour ce que j'ai dit. Je n'ai pas été correcte. Avec toi aussi Aivy. Je me suis toujours dit que les choses n'arrivaient jamais pour rien. J'imagine que tôt ou tard, je devais partir d'ici et... retourner vivre en Californie. Je ne souhaite qu'une chose: soyez heureux. Merci J-f, pour tous ces moments.

Je baissa la tête en poussant un long soupire, pourquoi elle en rajoutait ? Qui lui avait dit que je n'essaierait pas d'aller la rejoindre et que j'allais sortir avec Aivy ?! Après tout ce temps à mes côtés elle devrait mieux me connaître. Alors que je relevais les yeux, j'entendis la main de ma meilleure amie frapper la joue de mon Ex.

- AIVY !

Ma meilleure amie pointa un doigt menaçant vers Éli, la regardant avec un air farouche tandis qu'Éli se frottait la joue avec une rage difficilement contenue. Elle n'était pas du genre à se laisser faire d'habitude.

-Toi écoute moi arrete de dire ca! Depuis tentot j'essaie que vousvous parliez et vous faites expres de faire Ch*er! Si J-F t'aime c,estque ca doit etre vrai et arrete de faire ta gentille avec moi je le sais trs bien que tu me déteste et en passant tu pourrais peut-etre demander a ton pere si tu pourrais rester ici pour les études!

Je pris Aivy par les épaules et la déplaçai légèrement. Si le père d'Éli voulait retourner en Californie c'était à cause de moi... Les parents de ma copine ne m'avaient jamais aimé. Je m'approchai de mon ex et la prit lentement dans mes bras, lui offrant toute ma tendresse.

-Éli... Ne t'imagine rien s'il te plait... Depuis que je t'aie rencontrée tu es devenue la raison pourquoi mon coeur s'est battu... Je m'imagine mal continuer sans toi... Je ne me vois pas vraiment du tout en fait... L'idée que tu puisses me quitter me terrifie terriblement... Si seulement tu savais à quel point je t'aime... Mais bon... J'imagine que ton père ne reviendra pas sur son idée... Mais... Si tu pars... Je ferai de mon mieux pour te rejoindre... Comme les deux parties deux coeur ne font toujours qu'un...

Je caressai doucement sa joue rougie et déposai un baiser sur ses lèvres, l'étirant le plus possible, profitant du moment au maximum, me rappelant de chaque petit détail. Le baiser dura un moment et c'est à regret que j'y mis fin. Je caressai sa taille une dernière fois et inspira son parfum qui sentait toujours faiblement malgré sa baignade. Je la quittai, me dirigeant vers ma maison... J'allais me coucher...

- Je t'aime Élizabeth....

Je ne me retournai pas, de peur de ne pas résister à l'appel de son coeur... Son coeur qui criait mon nom... Comme le mien qui criait le sien...

Élizabeth reçut la gifle en pleine face. Elle sursauta, totalement sous le choc, dévisageant Aivy. Pourquoi l'avait-elle giflée!?

-Toi écoute moi arrete de dire ca! Depuis tentot j'essaie que vousvous parliez et vous faites expres de faire Ch*er! Si J-F t'aime c,estque ca doit etre vrai et arrete de faire ta gentille avec moi je le sais trs bien que tu me déteste et en passant tu pourrais peut-etre demander a ton pere si tu pourrais rester ici pour les études!

-Tu es trop conne pour comprendre ou quoi!? PRIMO, j'ai DÉJÀ demandé à mon père, et il a dit NON! Crois-tu sincèrement que je serais entrain de brailler si il y avait de l'espoir!? SECONDO, arrêtes d'essayer de nous réconcillier, tu te fous toujours dans ce qui ne te regarde pas! TERCIO, t'es qu'une tête de cochon, t'as pas compris que j'essayais de détendre la tenssion entre nous!? T'es vraiment cruche.

Éli' n'eut pas le temps d'ajouter quoi que ce soit d'autre que J-F parla. Franchement, elle avait besoin de sommeil, pas d'un autre discour!!

-Éli... Ne t'imagine rien s'il te plait... Depuis que je t'aie rencontrée tu es devenue la raison pourquoi mon coeur s'est battu... Je m'imagine mal continuer sans toi... Je ne me vois pas vraiment du tout en fait... L'idée que tu puisses me quitter me terrifie terriblement... Si seulement tu savais à quel point je t'aime... Mais bon... J'imagine que ton père ne reviendra pas sur son idée... Mais... Si tu pars... Je ferai de mon mieux pour te rejoindre... Comme les deux parties deux coeur ne font toujours qu'un...

Élizabeth secoua la tête. Elle vint pour répliquer, mais il posa un baisé sur ses lèvres. Restant raide, elle attendit qu'il se recule et qu'il ajoute:

- Je t'aime Élizabeth....

La fatigue était trop présente. La colère bouillonait dans ses veines, ainsi, son jugement en était altéré. Peut-être regreterait-elle ces paroles plus tard, mais... pour le moment, c'était ça:

-J-F, tu n'as pas compris. Entre nous, c'est ter-mi-né. Ne te plie pas en cinq pour venir me revoir, reste avec Aivy, vous êtes "si jolis tous les deux"! J'en ai marre. Je rentre chez moi.

Sans prendre son reste, Élizabeth tourna les talons et s'éloigna en marchant. La colère se faisait sentir dans tout son corps. Une fois rendu chez elle, elle entra silencieusement. Son père n'était pas au courrant de sa promenade nocturne, et elle se devait d'être silencieuse. Tout se passa sans encomble. Elle alla se coucher.
Le lendemain, Éli' fut réveillée par son père. Réchignante, elle se leva et commença à se préparer à partir. Bientôt, tout fut prêt et ils prirent le premier avion en direction de la Californie, là où ils vivraient désormais...

Je me retrouvais seule ne sachant pas quoi faire.Je regarda Élie partir visage triste.Je trouvais cela triste que ca finissent dememe.Je me retourna et vis que J-F etait deja loib,il devait deja etre chez lui.je soupira ne sachant pas trop quoi faire.Je fouilla dans mes poches pour trouver mes clées,mais je m'appercue qu'elles n'était plus la.Et mes parents etaient parties en voyage.Je ne savait pas trop ou aller,donc le seul endroit ou je voyais que je pouvais aller etait chez J-F.Je me mis a marcher les mains dans les poches.Pourvue qu,il ne me ferme pas la porte au nez.Plus tard ja,rriva enfin chez lui.J'avais pris pas mal mon temps pour marcher,lui laisser un peu le temps de analiser la situation.J,arrivais enfin devant sa porte.je montais les queleus marche et cognaa la porte.

-J-F...C'est moi..j'ai perdue mes clées...elles ne seraient pas chez toi!?

Meme si j'étais dehors je savais tres bien qu'il m'entendais.Je commencais a voir froid,car j'avavais tout laisser en dedans pour le ratrapper.j'attendis qu,il m'ouvre ou sinon j'irais chez ma grand-mere qui etait a une demi-heure de marche d'ici.

Cela devait bientôt faire une quinzaine de minutes que j'étais chez nous, cette histoire venait de m'achever... Les paroles D'Éli m'avaient effacé comme un mot mal orthographié... J'était confus et j'avais besoin de me retrouver... C'est à ce moment que je compris que j'avais laissé tout mes amis derrière, j'avais accordé tout mon temps à ma copine... Je commencais à le regretter... Un haut le coeur me prit soudainement, je me dirigeai vers les toilettes, quelle soirée de merde... Le matin perçait déjà à l'horizon... Nous avions prit toute la nuit à faire ça...? Eh bien... Je pris une grande inspiration, je fermai les yeux, le mal partit lentement. Alors que je me dirigeais vers ma chambre, j'entendis cogner a ma porte, j'étais mort de fatigue... Le moral au plancher... La voix d'Aivy retentit de dehors.

-J-F...C'est moi..j'ai perdue mes clées...elles ne seraient pas chez toi!?

Je fermai les yeux et me dirigea en bas, je pris une pause avant d'ouvrir la porte, mes yeux fatigués se posèrent sur ma meilleure amie, je fis un petit sourire.

- Salut..

J'eus un moment d'hésitation avant d'ouvrir la porte et de lui faire signe d'entrer.

- Enlève tes souliers...

Je me dirigeai vers la cuisine, me passant les mains dans mes cheveux, je m'étirai avant de me tourner vers Aivy.

J,entrais dans la maison, enlevant mes souliers.Jesuivit J-f sans un mot.Je ne savais pas pourquoi,mais se sentait un malaise m'envahir.Je me sentait mal pour lui et en meme temps je me sentais coupable,pour une raison que j'ignorais.Lorsqu'il se tourna vers moi, je posa mon regard dans le siens et je parla dans un murmure n'étant pas capable d'hausser la voie.

-Ca va aller!?

Je lui fit un sourire compatisant que j'avais au bord des levres.Je savais qu,il souffrait en dedans,mais qu'il ne le laissait pas paretre.Je le connaissait asser.Cela faisait plusieurs années qu'ils c'étaient rencontrer,elle l,avait vue souvent n peine,mais jamais comme ca.Elle passa sa main su son bras opposer visiblement mal a laise.Que faire dans ses moment ouvrire ses bas pour lui offrir un calin ou simplement rien fare et voir comment il allait reagir..?

-Ca va aller!?

Je baissai les yeux, essayant de retenir cette larme qui criait pour sortir, j'avais envi de tout laisser sortir, laisser sortir cette douleur qui déchirait en ce moment même mon coeur... J'en avais assez... J'avais juste envi d'un peu de tendresse... Une main dans mes cheveux, une caresse sur ma joue, un effleurement... Qu'un doux murmure à mon oreille, me chuchotant que ce n'était qu'un mauvais rêve... J'aimerais me réveiller, la tenir dans mes bras, ses lèvres contre les miennes, sa peau si douce se frottant contre mon corps... Son parfum.... J'eus un léger malaise et dut me retenir après le mur pour ne pas tomber... Mes yeux n'osèrent se lever de sur le sol, comme s'ils étaient abattus par une quelquonque gravitée... J-F s'adossa contre le mur, il se laissa glisser jusqu'au sol, fixant droit devant lui.

- Tu veux dormir ici ? Il est tard et nos parents ne sont pas ici...

Je regarda J-F le coeur brisé, ca me faisait mal de le voir comme ca.Je me penha vers lui et lui pris une main.

-J,aimerais bien,merci..Tu veux que je t'aide?

Je pris le bras a J-f queje mis par essu mon épaule et l'aida se lever.Puis l'aida ensuite a monter les marches.Ca me faisais du bien de passer un peu de temps avc lui...Une fois dans sa chambreje l,aida a secuher sur son lit.

-Tu veux que je dorme ou?Divan?

Je savis que de tute fcon demain e serais partie tot car il voudrais surement etr seul et je comprenait tres bien.Je le regarda avec un regard de pitier.

Encore... Mes yeux refusaient de la regarder... Je ne sais pas ce qui me prenait... Elle m'aida à monter, encore un étourdissement, je faillis m'écrouler sur le lit. Sa question me laissant indécis... Les secondes s'étiraient, je savais qu'elle allait bientôt descendre si je ne disait rien... Mais que voulais-je vraiment ? Était-ce seulement un besoin de combler cette douleur qui me déchirait la poitrine ou y avait-il quelque chose d'autre... Ce quelque chose de tout à l'heure... Ce que j'avais ressentit en la serrant... Cette étreinte si entrainante... Je levai finalement les yeux, je ne savais pas quelle allait être sa réaction... J'espèrais seulement ne pas gaffer... Je tendis la main et prit la sienne avant de l'attirer vers moi en la prenant par la taille. Je l'emmenai sur le lit, ma tête si proche de la sienne. Ma main s'approcha de son visage, caressant le bord de sa machoire, sa joue, je continuai vers sa oreille et massai derrière, à la base de la tête. J'approchai mon visage du sien, nos nez se croisèrent, comme nos souffles chauds... Mon coeur battait la chamade... Mon sang battait dans mes veines... Je ne sais pas ce que je fais... Mes lèvres frôlèrent doucement sa bouche, caressant ses lèvres, je déposai un baiser sur sa joue, dans son cou. Ma main glissa, se dirigeant vers sa taille alors que je l'étendais sur le lit, je m'arrêtai tout d'un coup... Cela faisait du bien... Mais c'était insensé... Mes yeux se remplirent de larmes, je finis par m'étendre sur Aivy, je n'en pouvait plus... Je m'endormis dans le creux de son cou...

Je ne compris pas tout desuite ce qui e passait.J-f m'avait attirer a lui, il avait approcher nos visage si proche que que javais put sentir son souffle chaud réchauffer ma peau qui etait toujours si froide.Je fermis les yeux profitant au maximum de ce mometn au qul j'avais tant rever.jesentit pr la suite ses levres se rapprcher des miennes,un frisson m'envahie sur le champs, la chair de poule avait completement parcourrue mon corps en entier.os lvres c'était froler,mais eles siennes descendirents dans mon cou ce qui fit que ma respiration s'accélera.Je sentit aussi ses mains qui descendait le long de mes cotes pour aller vers me hanches ce qui fit faredes palpitaions encre plus grande a mon coeur.Mais tout fut vite arreter qu'il me it sur le lit et s'endorma le visage dans le creux de mon cou.Je entais toujours son souffle chaud qui me donnait des frissons.Finalement je repensa a tout cel ayant de l dfficlter a trouver le someille.Des larmes se miren a coullées sur mes joues.Étais-je qu,un conolation ace a perte de Élie?Je m,endormie sur cette quesion,mais ce moment serais graver dans ma mémoire...A jamais.

La nuit fut agitée, je ne me réveillai que le lendemain, vers midi, le soleil perçait à travers la fenêtre, je bougeai un peu, sentant quelque chose... Quelqu'un près de moi... Je déplaçai ma main, découvrant les hanches, les derniers moment de ma soirée me revinrent en tête, je me blottit contre Aivy, l'enlacant avec douceur et avec une infinie tendresse. Alors que j'y repensais, je compris que j'avais été stupide... Tout ce temps... Elle était là, elle m'aimait... J'approchai mon visage du sien... Et si... Si, je m'étais trompé tout ce temps, peut-être qu'Aivy était la bonne... J'approchai à nouveau mon visage du sien, hésitant. Je fermai les yeux, déposant un baiser sur ses lèvres en prenant tendrement sa main dans la mienne.